Le tout premier objet connecté a été installé en 1982 à Pittsburgh, aux États-Unis. Il s’agissait d’un distributeur de boissons capable d’indiquer le niveau de remplissage de l’appareil et la température des canettes. En 2008, nous comptions plus d’objets que d’humains sur terre. Une quarantaine d’années plus tard, notre monde compte un nombre vertigineux d’objets connectés: entre 50 et 80 milliards.

Lors de la Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement (CNUCED), 11 technologies de rupture ont été identifiées. Parmi elles : l’Intelligence Artificielle, la 5G, mais aussi l’Internet des Objets (ou IoT pour Internet of Things).

L’IoT est un levier qui permet de mieux connaître son environnement, l’analyser et l’impacter, ce qui transforme tous les secteurs d’activité.

De nombreux cas d’usage ont déjà été identifiés pour les acteurs de la santé, de l’industrie, de la logistique ou encore pour les villes intelligentes. 

Mais ce n’est qu’un début : le marché mondial de l’Internet des Objets couvre toujours plus de cas d’usages avec une intelligence accrue et une croissance de 21,5% en 2022 pour une prévision estimée à 1 100 milliards de dollars pour 2025.